Negrita (chant-guitare), « La Madone des Gitans », se produira avec Tania, sa fille, et plusieurs autres artistes, et chantera leur culture déclinée selon les aléas d’une histoire marquée par l’exil, les persécutions...
Leurs chansons sont le reflet de l’âme d’un peuple qui pérégrine depuis plus de mille ans, depuis qu’il a quitté la province indienne (Inde) du Rajasthan, chassé par la famine. Un voyage qui les a menés jusqu’en Europe, les uns ont essaimé la Grèce byzantine, la Bohême, l’Allemagne, l’Italie ; où on les a appelés gipsies, bohémiens, manouches ou romanichels.
Autant d’itinéraires et donc de vécus, de cultures, qui se rencontreront sur la scène de la Maison de Bégon. Douleur, complainte, joie, colère... Tous les sentiments se mixeront dans un cocktail sensuellement explosif.
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Leurs chansons sont le reflet de l’âme d’un peuple qui pérégrine depuis plus de mille ans, depuis qu’il a quitté la province indienne (Inde) du Rajasthan, chassé par la famine. Un voyage qui les a menés jusqu’en Europe, les uns ont essaimé la Grèce byzantine, la Bohême, l’Allemagne, l’Italie ; où on les a appelés gipsies, bohémiens, manouches ou romanichels.
Autant d’itinéraires et donc de vécus, de cultures, qui se rencontreront sur la scène de la Maison de Bégon. Douleur, complainte, joie, colère... Tous les sentiments se mixeront dans un cocktail sensuellement explosif.