BAB L’BLUZ [Gnawa-Blues Psyché]
Sur des sons très « fusion », entre rock, transe, couches psyché et solide structure gnawa, Yousra Mansour pose ses créations originales. Sa voix retient très vite l’attention, puissance indéniable au milieu de la force des instruments ; une voix parfois très féminine et aiguë, parfois androgyne et gutturale. « Chaque chanson parle d’un sujet particulier. La chanson Ila matta, « jusqu’à quand » est inspirée d’un poème du poète tunisien Anis Chouchène, Il y dit, « Jusqu’à quand la différence régnera, jusqu’à quand la violence se glorifie, jusqu’à quand restera-t-on silencieux ». Glibi est inspirée d’une poésie mauritanienne, le Tebra, qui parle des femmes. Elles utilisaient cette poésie pour chanter des mots d’amour à leurs amants en restant anonymes. El Gamra parle de la lune et de sa lumière et son énergie particulière » détaille Yousra Mansour.
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Sur des sons très « fusion », entre rock, transe, couches psyché et solide structure gnawa, Yousra Mansour pose ses créations originales. Sa voix retient très vite l’attention, puissance indéniable au milieu de la force des instruments ; une voix parfois très féminine et aiguë, parfois androgyne et gutturale. « Chaque chanson parle d’un sujet particulier. La chanson Ila matta, « jusqu’à quand » est inspirée d’un poème du poète tunisien Anis Chouchène, Il y dit, « Jusqu’à quand la différence régnera, jusqu’à quand la violence se glorifie, jusqu’à quand restera-t-on silencieux ». Glibi est inspirée d’une poésie mauritanienne, le Tebra, qui parle des femmes. Elles utilisaient cette poésie pour chanter des mots d’amour à leurs amants en restant anonymes. El Gamra parle de la lune et de sa lumière et son énergie particulière » détaille Yousra Mansour.